Un moment plein de féerie, que nous quittons pour rejoindre Innsbruck, la capitale du Tyrol.
Pour les amateurs de ski, le coin est légèrement renommé. Non loin d’ici se trouve Kitzbühel ou Garmisch Partenkirchen (côté allemand), de quoi faire de belles descentes en hiver ! Et quand je dis descente, ici on ne plaisante pas avec ça, pour preuve le tremplin de saut (ayant servi pour les Jeux Olympiques) dans le prolongement de la perspective ci-dessous.
Innsbruck est vraiment une ville à l’architecture typique du Moyen-Age, avec ses maisons colorées et ornées de fresques.
Mais le monument qu’il ne faut surtout pas rater, c’est le Petit Toit d’or : une fenêtre en encorbellement dans le plus pur style gothique, recouverte par plus de 2600 tuiles de cuivre doré.
Nb : si un petit creux se fait ressentir, on trouve d’excellents « Apfelstrudel » (gâteau roulé au pommes) en quittant la place centrale, en direction de l’hôtel !
Clin d’œil curiosité : si lors d’un passage dans le Tyrol, vous rêvez d’un souvenir unique, je vous conseille ceci !
Pour une fois, je ne résiste pas au piratage de photo sur google pour vous faire rêver ! En effet les bassins extérieurs sur-élevés avec un panorama de fou sont juste magiques !
Après cette pause très agréable, nous prenons la route en direction du château de Hohenschwangau. C’est le château de style néogothique que le père de Louis II fit construire.
Alors, il est plus que fortement conseillé de réserver ses billets sur le site, parce que la file d’attente à la caisse est très impressionnante ! Même armé de patience, c’est une gageure ! J’avais bien réservé mes entrées, et bien calculé qu’il fallait se présenter avant l’heure (le parking est éloigné du château). La seule chose que je n’avais pas anticipée, c’est que la région est vraiment très touristique et qu’il n’y a qu’une route (de montagne !). Résultat des embouteillages monstres et un créneau horaire plus que dépassé ! Explosé ! Une fois sur le site, je me précipite à la caisse avec l’idée de faire modifier mon timing de visite. Les caisses pour Neuschwanstein sont déjà fermées (2 h avant la fermeture du château !) faute de place à vendre. Heureusement, nous devions visiter le château le moins populaire ! Nous sommes recasés à la dernière visite de l’après-midi, ce qui nous laisse plus d’une heure et demie pour nous balader et faire la grimpette d’approche !
Le billet d’entrée est muni d’un code barre, qui ne vous ouvre le portillon qu’à l’heure précise, ponctualité ! La visite se fait avec un audio-guide et dure 30 minutes, montre en main ! Rigolent pas les allemands, pas le temps de s’attarder !
En arrière plan, le mythique château de Neuschwanstein.
Petit coup d’oeil sur l’Alpsee en redescendant !
Nous rejoignons Füssen, où nous allons passer la nuit à l’hôtel Schlosskrone. Nous ne sommes pas très loin des châteaux de Louis II et pourrons revenir le lendemain pour le morceau de bravoure !
Lors d’une balade à Füssen nous découvrons la forteresse en hauteur de la vieille ville. Allé, c’est parti !
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