Jour 3 : Hyppique ou atypique ?
Le cheval a une place très importante ici, il était donc hors de question de ne pas s’essayer à l’activité équestre durant ce séjour. Nous nous rendons chez Josefina, dans une ferme perdue au milieu de nulle part, où le grondement des cascades donne une atmosphère bien particulière. C’est la Giljar horse rental farm.
L’endroit est vraiment superbe ! Ce désert de mousse et de roche est impressionnant. Nous traversons une rivière pour nous approchez d’une cascade. C’est la bonne surprise de cette rando !
Arrêt rapide à Deildartunguhver. Ça fume, ça bouillonne ! L’endroit comprend un complexe thermal pour la baignade !
Une étape que j’attendais avec impatience : Vatnsnes yarn. Kristin installe les magnifiques écheveaux qu’elle teint dans la serre familiale où poussent fraises et tomates.
ET nous terminerons la journée à Akureyri, la plus grosse ville du pays (à peine 19 000 habitants) après Reykjavik. Les islandais ont la plus faible densité de population, c’est dire qu’ils ne se marchent pas dessus !
Découverte du jardin botanique (Lystigarðurinn) le plus septentrional du monde.
Une adresse pour les tricopines qui visiteront Akureyri : Flóra.
Nuitée à l’Hotel Dynheimar Akureyri.
Pause tricothée !
Jour 4 : C'est assez, dit la baleine, je me cache à l'eau car j'ai le dos fin.
Hors de question de venir en Islande sans tenter de voir des baleines. J’ai opté pour la version sportive : en speed-boat ! Equipement de rigueur : combi-gilet de sauvetage-gants-lunettes et masque ! Pire que des cosmonautes ! Réservation chez Ambassador.
Âme sensible, s’abstenir ! Le speed-boat, dans le genre manège à sensation, c’est pas mal !
Pour nous mettre en appétit, les dauphins viennent fouiner autour du bateau, puis la reine des océans fait enfin son apparition (avant d’embarquer on nous a quand même fait signer une décharge au cas où nous ne verrions personne !). Ce sont les jeunes baleines qui passent un peu de temps ici, histoire de s’engraisser avant d’attaquer la traversée de l’océan. Petit détail : quand on voit le jet sortir de l’eau, ça veut dire qu’on aura seulement la queue en photo !
Nous sommes déjà repartis vers de nouveaux horizons : chute de Goðafoss, une des plus grosse du pays.
Pause trempette pour se remettre de nos émotions : Geosea, avec vue sur les sommets enneigés.
Le lac Myvatn au pied d’un champ de lave.
Hôtel digne d’un James Bond : le Fosshotel Myvatn. La vue du restaurant est plutôt sympathique !
