Portugal Voyages

Lisbonne et sa région – Avril 2022 – Partie 5 – La fin

Jour 6 : Couleur locale.

Lisbonne, c’est la ville aux 7 collines !

Ca grimpe, ça grimpe, mais parfois intelligemment !

Quartier de l’Alfama, des ruelles qui grimpent !

Oh ! Encore un Bordalo Segundo ! Après enquête, il s’avère que cet artiste est né à Lisbonne. Ceci expliquerait cela !

In Pink street « you can stand under my umbrella, ella, ella, eh, eh, eh » ! Comme ça, vous avez la chanson de Rihanna qui va vous trottez dans la tête pendant un petit moment ! 😉

LX Hotel pour notre séjour lisboète. Un seul bémol pour le night club en sous-sol. Au moins nous nous en souviendrons !

Jour 7 : Le coup de la panne !

Nous prenons le tram 28 Rua Vítor Cordon, avec l’idée de traverser les quartiers anciens sans se fatiguer ! Et en plus, le 28 passe juste devant une boutique de laine très connue des tricopathe. Mais ça, il ne faut pas le dire à Monsieur D. pour qui l’argument sera purement l’attrait touristique ! Ce n’est pas un mensonge, juste de l’optimisation de motivation !

Symbole

La Sé

Etape ultime de notre trajet en tramway !!! Comment ça, panne électrique ! Mais non, notre périple. nous aura fait gagner … 3 stations !!!

Nous sommes bons pour une bonne marche en suivant les rails de la ligne 28 pour ne pas rater la boutique (la veille nous sommes passés devant, sans la voir ! Oui, c’est possible !)

Shepard Fairey, pour les novices, le portrait HOPE d’Obama, c’est lui ! Et plein d’autres oeuvres connues, dont le « Liberté, Egalité, Fraternité » sur un immeuble à Paris XIII, métro National.

ENFIN ! LA boutique de laine de Lisbonne, c’est elle ! Retrosaria Rosa Pomar. Je la cherche depuis 2 jours et il a fallu que je passe devant 3 fois pour la voir ! Le plus difficile étant de trouver un itinéraire de promenade discret pour ne pas me faire capter par Monsieur D. ! 

Au pied des arcs-en-ciel, il y a un trésor et au pied des ascenseurs, un Bordalo II. Maintenant que je sais, que l’artiste a sévi à plusieurs endroit dans Lisbonne, je cherche ces oeuvres comme un enfant cherche les oeufs dans le jardin à Pâques !

L’elevador de Santa Justa est un symbole de la ville. Il est construit en fer forgé riveté et décoré dans un style néogothique.

Le Couvent des Carmes détruit par un tremblement de terre en 1755, abrite aujourd’hui le musée archéologique.

Embaixada est un palais néo-arabe reconverti en galerie commerciale.

Toc depuis le Japon !

La place du commerce.

Jour 8 : Sous influences !

Faute d’avoir pu le visiter le jour où nous étions à Belem, nous y sommes revenu en tram. Et pour les amoureux du style manuélin, c’est un incontournable.

The doors !

Le réfectoire.

L’église Santa Maria et ses croisées d’ogives.

Un petit tour à la LX factory. C’est un espace culturel alternatif situé dans une ancienne usine de tissus désaffectée.

Des boutiques :

avec entre autres, une librairie à la place des rotatives et des boites de sardines dans un décor néo-gothique.

et du street art, avec l’abeille de Bordalo II.

Non loin de là, le banc de poissons de Bordalo II. Whaou, 2 Bordalo II dans la même journée ! Et dire que nous avons failli ne pas le trouver !

Le japonais de l’hôtel ! Une tuerie ! Cocktail de gin au matcha et yuzu pour accompagner nos mets.

Jour 9 : Art populaire.

Le funiculaire de Glória ouvert en 1885 et de Lavra inauguré en 1884.

Et voici un petit florilège des mosaïques de calcaire et basalte qui couvrent les trottoirs portugais, c’est propre et joli ! Du street art avant l’heure !

Et pour terminer sur une bonne note : vitrine d’une boutique sur la plus grande avenue lisboète.

Ces gens ont du goût, c’est incontestable ! 

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